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Craig Inglis

Jeff Jarrett parle de son conflit avec Dixie Carter.

Jeff Jarrett a partagé ses réflexions sur divers sujets lors de son dernier épisode de "My World with Jeff Jarrett". Voici les points saillants :

Sur le fait de savoir s'il aurait participé à l'angle de l'Invasion en 2001 à la WWE s'il en avait eu l'opportunité :

"J'allais être payé pour rester à la maison, d'où l'été sans soucis. J'étais payé jusqu'à la fin octobre ou quelque chose comme ça. Donc c'était, je vais l'appeler, l'option A, et sachant qu'il y avait une tonne de talents, je vais juste dire le 'Millionaire's Club'. Vous savez, Hall, Nash, DDP, Goldberg, Hogan, Savage, peu importe, il y avait beaucoup de talent tout en haut que Vince pouvait choisir, et puis il y avait déjà beaucoup de gars libres. Je savais juste que mon saut n'était dans les cartes de personne, ce qui me rendait assez heureux. Néanmoins, si le président m'avait appelé, j'aurais été idiot de dire non parce que je pense simplement que deux histoires auraient pu facilement, vous savez, encore une fois, c'est une époque un peu différente, mais fissurer Vinnie Mac ou aller après Stone Cold. Les deux auraient pu fonctionner. J'aurais adoré avoir un match avec Vince, juste pour la narration, mais j'aurais préféré être le méchant. J'aurais adoré qu'il soit, Vince. Il obtient encore aujourd'hui cette réaction emblématique. Vous savez, c'est une perspective unique. Je pense qu'il est le plus grand méchant de l'histoire du catch professionnel. Ses compétences verbales, son intonation, et ensuite sa série de circonstances réelles et tout ce qui l'entoure, c'est simplement, la personnalité de M. McMahon est, je ne veux même pas dire juste un méchant classique, mais, c'est un méchant de tous les temps. Mais avec le bon méchant, vous pouvez inverser cela. Il pourrait y avoir beaucoup de plaisir avec Vince en tant que visage. Stone Cold, vous savez, nous avons travaillé ensemble à la fin des années 80, début des années 90. J'aurais adoré avoir ce match ou cette série de matchs. Je pense que nous aurions pu faire de l'argent."

Sur son conflit avec Dixie Carter à la TNA :

"Quand le coup de force a eu lieu à la fin de 2009 entre Jeff Jarrett et Dixie Carter, c'est devenu ça. Le public d'une seule personne et tout le monde qui est entré dans la société travaillait pour elle et prenait des décisions en fonction de ce qu'elle disait ou de ce qu'ils pensaient qu'elle voulait. Et regardez, je sais de source sûre et moi et Eric, vous savez, regardez, je ne pense pas qu'Eric considère ses jours à la TNA ou à Impact comme des jours de fan, mais je crois qu'il se levait et venait travailler et prenait la meilleure décision possible qu'il pensait qui était pour la journée, que je sois d'accord ou pas, c'était sans importance. Il faisait ce qu'il pensait. Et c'est ainsi que je pouvais rendre ma patronne, Dixie Carter, heureuse ? Et chaque décision a été prise de cette façon. Le manque de communication entre Dixie et son groupe et son groupe étaient Dean Brodhead, Vince Russo, Bruce Prichard, Hulk Hogan et Eric Bischoff. Ces cinq-là ne savaient jamais vraiment ce que l'autre pensait ou parlait. C'était un tel chaos disjoint et manque de communication en haut. Mais Dixie, Dieu la bénisse, elle envoyait des textos gentils et tout ça, mais nous parlions simplement de business et tout l'eau sous le pont. Si Jeff allait à gauche, alors je devais aller à droite. Si Jeff allait à droite, j'allais à gauche. Vous regardez simplement l'ensemble de l'organisation. Je veux dire, à tous les niveaux. Jeff est allé avec un ring à six côtés. Nous devons revenir à un ring à quatre côtés. Que ce soit l'idée de Hulk ou de Dixie, Dixie avait le dernier mot sur tout. C'était sur les talents. Hé, voici la sélection de talents de Jeff. Débarrassons-nous d'eux tous. Voici la sélection d'agents de Jeff. Débarrassons-nous d'eux tous. C'était complet. Lorsque vous regardez la société de juillet 2009 à juillet 2011, ce n'est pas du tout, ce n'est même pas proche du tout. Même pas proche. Donc je ne le crois pas. Cela retombe finalement sur les épaules du leader. Comme dans toute organisation, cela retombe entièrement sur ses épaules. Bruce : Regardez à ce moment-là. Conrad, vous pourriez peut-être m'aider mieux que moi. Je veux dire, Bruce regardait de l'extérieur la WWE. La WWE n'était pas sur son radar. Est-ce juste ? Donc il ne prenait pas de décision en se basant sur la WWE. Eric ne prenait pas cette décision."

Merci à "My World with Jeff Jarrett" avec une mention spéciale à "Wrestling Headlines" pour la transcription.


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